Emil ABOSSOLO M'BO

Auteur Adaptation Mise en scène
Farid Uddin Attar Jean-Claude Carrière Guy-Pierre Couleau

Avec

Dès 14 ans.

  • L’un des plus beaux récits poétiques de tous les temps

La Conférence des oiseaux fait référence à l’un des célèbres contes soufis, dont le Persan Farid Uddin Attar fit l’un des plus beaux récits poétiques de tous les temps.

Traversant sept vallées à la recherche du mythique Simorg qu’ils souhaitent prendre comme roi, les oiseaux de toutes espèces commencent à dire leurs craintes et, progressivement, à livrer leurs espoirs et leurs rêves d’un monde de paix et de tolérance.

Adapté pour la scène par Jean-Claude Carrière — écrivain, scénariste, parolier, metteur en scène et grand connaisseur de la littérature persane — ce récit est une métaphore du chemin de l’Homme, imparfait, capable de s’élever spirituellement, mais devant revenir aux choses matérielles. Pour rester au plus près de cette fable aux accents parfois triviaux, Guy Pierre Couleau construit avec les dix acteurs-conteurs une chorégraphie qui conduira ces oiseaux migrateurs à se débarrasser de leurs masques, pour mieux incarner les cinquante personnages du récit. Une envolée initiatique où les splendeurs tout autant que les misères, les étonnements, les abandons et les désespoirs nous parlent de notre rapport au divin.

  • La presse

« À l’instar des grands récits orientaux, le texte est émaillé de contes et d’anecdotes, propices au jeu d’acteur ; une plongée dans des pratiques traditionnelles de théâtre que sont le mime et le jeu de masque. Les comédiens sont aidés par les masques légers, comme une deuxième peau. Ils jouent avec légèreté, comme des oiseaux prêts à s’envoler. » Stéphane Capron – Sceneweb

« Très peu portée sur scène depuis la création de Peter Brook en 1979 au Festival d’Avignon, cette adaptation d’un poème du mystique persan Farid Uddin Attar écrite par Jean-Claude Carrière trouve ici une nouvelle jeunesse. Sobre, minimaliste, la mise en scène de Guy Pierre Couleau souligne très subtilement les résonances actuelles du texte. » Anaïs Héluin – La Terrasse